Un montage d’extraits de vieux films, sélectionnés dans différentes archives, générant des analogies visuelles et une ressemblance formelle de corps, d’objets, de lieux, de mouvements et de récits.
Le titre qu’il faut traduire par « tout ce qu’il faut pour faire un film, c’est une femme et un révolver» fait référence à une phrase de D. W. Griffith, reprise plus tard par Jean-Luc Godard. Intrigué par cette formule, le réalisateur Gustav Deutsch a creusé cette combinaison étrange pour donner à réfléchir sur le sexe et la perversion cinématographique.