Dimanche 11 avril 2010 à 16h30

L’Homme atlantique

(...) or Ellipses n°5

de Stan Brakhage

1998 | 15 min | 16mm optique

Un écran noir sonorisé qui peu à peu laisse apparaître la lumière dans un échange musique-images qui ne cesse d’évoluer.

Homme atlantique (L')

de Marguerite Duras

Fiction | 1981 | 42 min | 35mm optique

L’Homme atlantique est peut-être le premier film à vous faire regarder les images les yeux fermés. (…). Il est juste de dire que ces quarante minutes de noir sont les plus belles images que Marguerite Duras ait imprimées sur la pellicule.” Gérard Courant

Ga

de Stephanie Maxwell

1982 | 5 min | 16mm optique

Ce que nos ancêtres plasticiens dessinaient sur des parois de grottes, Stephanie Maxwell nous le restitue sur pellicule. La pellicule comme caverne de la mémoire collective, d’où tout peut rejaillir.

Lumiere's Train

de Al Razutis

1979 | 9 min | 16mm optique

Le sujet de ce film est le cinéma lui-même. Son exposition et sa forme sont proches de la tradition des poèmes du cinéma structurel fondant la matérialité du médium (lumière, obscurité, la forme comme projection fantomatique du dispositif cinématographique).

Jour de neige

de Vincent Deville

2000 | 3 min | DVD

Quelques images perdues dans le noir, brefs souvenirs d’une journée passée à la neige. Ce qu’il restera peut-être plus tard à l’esprit des enfants présents ce jour-là.