Mandy

Horreur.

En 1983, Red Miller, bûcheron taciturne, vit tranquillement avec sa compagne Mandy. Un jour débarque le mystique et charismatique Jeremiah Sand, accompagné d’une bande de hippies fanatiques et de motards inquiétants, qui s’en prend au couple. Ce sera le début d’une vengeance sans pitié.

Après Beyond The Black Rainbow, Panos Cosmatos s’entoure d'Elijah Wood comme producteur, Jóhann Jóhannsson à la musique et surtout un Nicolas Cage déchaîné, qui se voit offrir un véhicule idéal pour exprimer tout son talent à la hauteur de sa folie (ou inversement). Un véritable champ d’expérimentation formel et narratif, à découvrir sur grand écran.

«Malgré une sélection à Cannes en 2018, Mandy, le deuxième film de Panos Cosmatos, a été malheureusement très peu diffusé en France – et c'est dommage, parce qu'il s'agit d'un thriller jouissif et brillant où on peut à la fois trouver des effets visuels qui feraient passer n'importe quelle drogue psychédélique pour un Dafalgan, les adeptes d'une secte de hippies qui pactisent avec un gang de motards terrifiants, un duel au sommet impliquant au moins deux tronçonneuses, et un Nicolas Cage qui repousse toujours plus ses limites en termes de pétage de plomb.»