«Il n’est pas faux de dire qu’Albert Dupontel n’a jamais pensé qu’au cinéma. En effet, le garçon qui en 5e année renonça à ses études de médecine ne s’appelait pas encore Dupontel. Pour le reste, celui qui, sous ce nom de scène, se lança au sortir de la fac dans une carrière brillante d’humoriste et amuseur n’avait qu’un projet en tête, réaliser des films. Acteur, il le fut et il l’est encore, de La Maladie de Sachs (Michel Deville, 1999) au Grand Soir (Delépine et Kervern, 2011) avec au passage un César du meilleur acteur dans un second rôle pour le film de Jacques Audiard, Un héros très discret, sans oublier surtout que c’est à lui que Bertrand Blier confia dans Le Bruit des glaçons le rôle d’un cancer, oui, carrément, et que face à Jean Dujardin il excellait.» - Pascal Mérigeau.
Dans le cadre de la saison 2013-2014.