«Un film tous les trois ans. On connaît rythme plus frénétique. En revanche, on peinerait à désigner un cinéaste aussi aventurier que Jean-Jacques Annaud, dont les projets paraissent s’enchaîner au gré des tocades, des folies, des voyages. Pour commencer ce fut l’Afrique, celle du temps de la Première Guerre mondiale, et La Victoire en chantant, premier film de cinéma d’une déjà star du film publicitaire, passé presque inaperçu à sa sortie (et c’était très injuste) avant que de se voir repêché par Hollywood qui, contre tout pronostic, lui décerna l’Oscar du film étranger. C’était en 1977, on aurait pu deviner déjà que la carrière du cinéaste ne ressemblerait à aucune autre.» - Pascal Mérigeau.
Dans le cadre de la saison 2011-2012.