Si Edgar Morin se définit comme un cinéphage -et pas comme un cinéphile-, c’est pour dire que le cinéma est une sorte de nourriture fondamentale pour sa pensée, ses idées, sa connaissance. D’ailleurs, cela nous invite à découvrir les films de toujours en tant que sollicitations aussi bien pour la réflexion sur la complexité du monde que pour la compréhension de l’humanité des hommes.
Liste non-exhaustive des films mentionnés:
Les Lumières de la ville de Charlie Chaplin (1931)
Le Parrain de Francis Ford Coppola (1972)
Biutiful de Alejandro González Iñárritu (2010)
Spécialiste italienne de la pensée d’Edgar Morin, Chiara Simonigh est professeur d’histoire et d’esthétique du cinéma à l’université de Turin.
Thématique Edgar Morin, du 15 au 19 octobre 2014.