Entre hier et aujourd’hui, entre Sweet Dream (1936), Fisherman’s Fire (1939) et la ville vue par Hong Sang-soo (à pied, en taxi, dans un bar) ou par Bong Joon-ho (The Host), Séoul s’est non seulement transformée, mais le cinéma s’est plu à lui faire jouer différents rôles, révélateurs de ses mutations au fil de son histoire. De quelle manière le cinéma coréen a fait de Séoul un acteur aux multiples visages?
Ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, Charles Tesson est maître de conférences à Paris 3. Délégué général de la Semaine de la critique depuis 2011, il fut l’un des artisans de l’introduction du cinéma coréen en France dans les années 1990.
Thématique Séoul hypnotique, du 15 septembre au 1er novembre 2015.